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LA BELGIQUE RÉTICENTE :

Les trois Régions belges ont estimé qu’il n’était pas nécessaire de placer  des compteurs dit intelligents d’ici à l’échéance fixée. Différentes raisons ont été évoquées pour ne pas se plier à la directive européenne :
• Coût trop élevé des compteurs intelligents facturés aux clients ;
• Absence de format standard : la technologie n’est pas encore aboutie ;
• Durée de vie des compteurs digitaux moins longue que celle des compteurs analogiques : en moyenne, 10 ans contre 30 ans ;
• Problème de la confidentialité des données ;
• Relevé en temps réel inutile pour la majorité des citoyens.
(Le temps réel du Linky est le lendemain...)

LES PAYS BAS ONT RECULÉS :

La mobilisation des associations de consommateurs qui refusaient que soient rendus obligatoires des dispositifs effectuant des relevés à une fréquence jugée contraire à la protection de la vie privée, induisant par ailleurs une hausse du prix de location du compteur, a entraîné le retrait du premier projet de loi en 2009. Ce projet prévoyait des sanctions pour tout citoyen qui refuserait l’installation d’un compteur. En novembre 2010, le Parlement néerlandais a adopté de nouvelles dispositions législatives prévoyant l’installation du compteur sur la base du volontariat et conditionnant le relevé détaillé à l’accord du consommateur.
(http://www.smartgrids-cre.fr/index.php?p=compteurs-europe)

L'ALLEMAGNE :

 

a autorisé l'installation seulement pour les très gros consommateurs, c'est-à-dire les sociétés.

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